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Une majorité des Ecologistes serait favorable à l’exploitation du gaz de schite, mais c’est une coquille
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Une majorité des Ecologistes serait favorable à l’exploitation du gaz de schite, mais c’est une coquille
Dans tous les métiers, il y a des process à appliquer, tenez, par exemple, les gynécologues respectent les règles.
On a dit, on dit, on dira encore beaucoup de choses à propos de l’Entreprise.
Lors de l’ouverture de ce type d’entreprise, on voit souvent des dirigeants politique locaux s’enchanter bien vite, et souvent bien fort de l’arrivée dans leur région, génératrices d’espoir, et de nombreux emplois.
Mais quels espoirs, et quels emplois ? Ces maires, ces députés, ces journalistes également oublient scrupuleusement de se préoccuper de la qualité de ces postes créés, de ces salariés déconsidérés aux droits spoliés………
Dans l’Entreprise, cependant, point de racisme, foin des différences, on y croise des blancs, des noirs des jaunes, des maghrébins des turcs, des jeunes, des presque morts, des catholiques, des athées, des pederastes, des bisexuels et quelques zoophiles, Babel des temps modernes…..Gageons que s’il existait des vertsà pois bleus, ils seraient embauchés pareils !
Pour qui possède un peu d’ouverture d’esprit, ce melting- pot est intéressant, les discussions lors des pauses sont d’autant plus enrichissantes !
Récemment, pour « récompenser », mais pas trop tout de même, ses collaborateurs, c’est ainsi qu’elle les appelle, en hommage je suppose à une funeste époque, récemment donc, l’Entreprise a organisé une soirée dans une boite de la région, point d’ostracisme, nombreux étaient là……………..
………N’empêche que c’est la première fois que je voyais autant d’arabes dans une discothèque !
Quelqu'un, un journaliste local semble t'il, un vague plumitif, à peine petit notable de petite province, quelqu'un donc me fait savoir qu'il considère que j'écris avec les pieds.
"€o)9%#", je lui réponds
............. Avec le gros orteil.
Début de Novembre, il n'est pas 18 heures, le changement d'heure est passé par là, la nuit tombe déjà, il fait un peu froid. Assis sous l'abribus, les odeurs de la cabane à gaufre située juste derrière, donne à l'ambiance des faux airs de Noël, poussant à une douce mélancolie. Le bus n°5 s'arrète, eructant au passage une nauséabonde fragrance de diesel, clap de fin de rêve!