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  • Bref, elle était dingue......

    « Bla blabla blablablablabla

    -         Oui mais………..

    -         Mais, mais  blablablabla blablablablabla

    -         Enfin, tu peux pas dire çà comme ça…………

    -         Pas comme çà, pas comme çà blablabla blabla blabla  blablablablablabla

    -         Ok, mais……..

    -         Blablablabla, blablablablabla, bref, elle était dingue !

     

  • Belphegor

    Elle est assise dans le bus, vêtue, gantée, voilée de noir, seul apparaît un visage triste, elle semble belle et jeune, fantôme improbable, Belphégor sans le masque, elle passe à mes cotés en descendant du bus, et en plus, elle sent bon………….

  • Hommage? Pas sur....

    Le 26 Mai 1986 dans ses quotidiennes « Chroniques de la Haine Ordinaire », sur feue France Inter, l’extinction de La Radio généraliste de Service Public correspondant pour moi à l’arrivée de Val à sa tête, balayant d’un coup toute tentative de critique acerbe, ne nous laissant pour seul recours matinal que Gerra sur RTL, c’est dire !

     

    Mais, je m’égare, me laissant aller à quelque digression mélancolique m’éloignant de la date plus haut citée du 26 Mai 1986, ou Desproges attaque, en cette fin d’après midi printanière une chronique intitulée : «  Ca déménage », qui commence en ces termes :

    « Il se peut que cette chronique soit la dernière.
    Considérez-la comme mon testament.
    Ce matin, à six heures trente, à l'heure où Phoebus darde encore ses rayons dans sa poche, on a sonné à ma porte.
    - Ce ne pouvait pas être le laitier. Je ne bois pas de lait le matin, ça fait cailler la tequila de la veille au soir.
    - Ce ne pouvait pas être le KGB. Je suis au mieux avec Moscou.
    J'ai rencontré l'autre jour un ingénieur de Tchernobyl qui se désirradiait dans la piscine Molitor, je lui ai dit : "J'aime beaucoup ce que vous faites." On ne sait jamais.
    On n'est jamais trop prudent.
    - Ce ne pouvait pas être les miliciens de Pasqua. J'aime beaucoup Pasqua.
    Ce look " Don Camillo uber alles ", je ne résiste pas.
    Hier encore, je lui ai téléphoné pour lui cafter les agissements de ce connard de Jean-Claude Bourret qui veut entrer dans la résistance avec Polac et Denise Fabre pour la sauvegarde du service public. 

    Alors que fut-ce ? Qu'ouissai-je ? Qui donc ébranlait mon huis ?

    Enfer et boule de bitte : c'étaient les déménageurs
    . »

     

    J’arrête là le vulgaire « copier-coller » du texte desprogiens pour vous en résumer l’essence, l’humoriste limougeaud quittait ce jour là son antre parisienne pour un pavillon cossu de banlieue. Desproges nous narrait donc avec un talent que tous aujourd’hui s’accordent à trouver sans limites, alors que, quand même, ça ne vaut pas Bigard !

     

    Et de nous décrire donc la terreur que lui inspirent les déménageurs, brutes épaisses, nous dit il, il déclare même rédiger sa chronique planqué dans ses toilettes, esperant ne pas en être délogé.

    Je dois vous dire qu’une telle frayeur m’est l’autre jour arrivée lorsque des poseurs de fenêtres sont venus changer les huis de mon deux pièces cuisine.

     

    Même si ces messieurs, sont, à n’en pas douter, des as dans leur métier, je fus un peu effaré devant le déchaînement de violence dont ils usaient pour arracher, au pied de biche s’il vous plait, mes anciennes fenêtres !

    Au pied de biche, vos vous rendez compte ?

     

    D’abord, j’aimerai bien comprendre pourquoi l’on appelle cet outil barbare « pied de biche », comment peut on associer la gracilité, la douceur et la gentillesse de ce délicat animal (surtout avec une sauce grand veneur) à cet engin barbare ? En voyant cela, je ne pourrai plus jamais regarder Bambi, et ça me navre ! Des caisses à outils partout, des coups de marteau, de scie électrique, des « gzzzzzz », des « brrrrrrrrr », des gars qui sifflent en travaillant je ne me suis plus senti chez moi !

    Ils sont repartis vers 17h00, j’ai encore peur, pourvu qu’ils ne leur prennent pas l’envie de créer une nouvelle fenêtre chez moi……

  • Polémique

    Le film américain crétin, les cariatures de "Charlie Hebdo" relancent, de nouveau des coleres.Si l'on y regarde de plus près, tous les grands conflits humains , ou presque, se sont déclenchés pourdes raisons religieuses. Et si l'on interdisait les religions???????

  • En vérité

    En vérité, je vous le dis, il est très difficilbilletécrire un e dans le bus  sans commettre de fautes de  froppes