Dans le bus....
« Le boulanger, il attaque tous les matins à trois heures. Alors qu'il ne me parle pas que les bus c'est pas confortable, pas pratique, à l'heure où il bosse y en a pas, des bus.....».
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« Le boulanger, il attaque tous les matins à trois heures. Alors qu'il ne me parle pas que les bus c'est pas confortable, pas pratique, à l'heure où il bosse y en a pas, des bus.....».
Nicolas Sarkozy se retire donc de la vie politique, pourquoi pas? Je remarque simplement qu'avant de l'annoncer par des propos détournés, Nicolas Sarkozy n'a pas commencé ses phrases par: « Jacques a dit», alors, le retrait de Nicolas Sarkozy de la vie politique, j'ai comme des doutes.
L'ostéopathe se gondole et se marre: pour lui, le Rubik's cube n'est qu'une plaisanterie, depuis le temps qu'il pratique en taille adulte.
À l'heure ( Dimanche soir), où Le Calamiteux rédige ce billet, il semble que Paul Bismuth soit disqualifié. Un autre Paul, Tourenne celui-là, qui vient de disparaître, pourrait lui chantonner: « La déconfiture ça dégouline.......».
Le vieil écrivain vient de mourir; reconnu par ses pairs, et par ses lecteurs, comme un grand auteur, pétri d'anticonformisme et d'humour ravageur, la cérémonie , sans fleur, ni courone rabbin, prêtre ou représentant religieux, conformément à ce qu'était l'homme.
Dans cette fraîche matinée de début d'hiver, quelques personnes, la famille, quelques amis et trois journalistes sont rassemblées dans l'allée centrale du cimetière du village. Le cercueil repose sur une paire de tréteaux, un micro sur pied attend les paroles des gens présents. De la paire de baffles, on entend alors la voix du défunt, provoquant une soudaine émotion. Le discours a manifestement été enregtré il y a quelques temps, la voix n'a pas le chevrotement qu'elle avait à l'approche du trépas, l'idée était donc largement préméditée:
« Chers amis, chers tous, qui êtes présents en ce jour funeste, comme je n'ai trouvé personne ayant le talent pour le faire, je suis quand même le plus génial des écrivains de ce siècle, je vais vous faire maintenant mon propre éloge funèbre, puisque j'en suis complètement satisfait......»