Cinématographe
Sans être fan absolu, Le Calamiteux s’intéresse cependant à la saga Star Wars. Alors, donc, s'est il rendu au cinéma pour assister au dernier opus, en relief, luxe d'une image qui captive et capture le spectateur. Épisode 8 intéressant, certes mais long, deux heures et trente huit minutes. La magie, liée aux références arthuriennes de la première trilogie tend à s'effacer devant les nouvelles disnyaiseries, devenues la norme depuis le rachat des droits à George Lucas. Sans vouloir, nullement, révéler l'intrigue et la fin de cet épisode, Le Calamiteux s'interroge désormais: à quel moment arrêtera t'il de suivre cet opéra galactique. Peut être qu'il suffira que les derniers héros de la trilogie originelle aient tous disparu.