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Quand, en 1961, Jérôme Robbins et Robert Wise racontent les affrontements de de deux bandes de jeunes à New-York, certains trouvent celà ,aujourd'hui encore, so romantique. Quand de tels affrontements se tiennent en 2015 dans une grande ville française, le romantisme n'est plus de mise.
Le petit garçon s'interroge: et si les filles n'avaient pas peur des araignées, comment pourrait il passer pour un héros?
Terminer les sept tomes de : « Á la recherche du Temps Perdu» de Proust, pour se plonger immédiatement dans un : « Super Picsou Géant», si ce n'est pas un grand écart çà, qu'est ce que c'est?
« Mona Lisa? Symbole de beauté? Peut être! Mais faudrait pas oublier que c'est aussi le nom d'une pomme de terre. Et une pomme de terre, c'est pas beau.....»
Deuxième saison pour Laurent Ruquier à la tête des « Grosses Têtes» de RTL, la direction d'antenne de l'époque avait considéré que l'émission et son créateur, Philippe Bouvard, vieillissaient mal. Que l'on soit client ou pas du rendez-vous quotidien de la station périphérique, force est de reconnaitre que l'arrivée de Ruquier et sa bande a apporté un souffle d'air frais aux « Grosses Têtes».
Et Philippe Bouvard dans tout çà, me direz vous?
L'octogénaire, certainement allergique à la retraite, s'est vu placardisé et cantonné à deux heures d'antenne hebdomadaires, pendant lesquelles il répond, considéré certainement comme un vieux co......, un vieux sage pardon, aux questions diverses et variées d'auditeurs visiblement conquis. Ainsi l'écoutai-je un peu par hasard hier matin sur le poste de radio de la cuisine où je préparais une tarte aux quetsches. Bouvard conseillait pendant une dizaine de minutes, un auditeur de vingt sept ans qui voulait se composer une collection d'autographes. La vieillesse est un naufrage.