Châtiment corporel
Dans notre continent-pays, où la crise et la paupérisation frappent de concert, j'apprends que les députés européens sont très en colère: la France n'a toujours pas interdit la fessée.
Sans être particulièrement en faveur de quelconque châtiment corporel, je m'interroge cependant: les millions d'électeurs français ne sont ils pas en mesure de penser que les eurodéputés ont, de moins en moins, le sens des priorités ?