Bandante
Je viens de la croiser sur le quai de la gare. Pas belle, pas vraiment, un visage un peu sévère un nez un peu ingrat qui laisse à penser que, si Dieu existe, il s’est bien foutu de sa gueule.
Une petite robe légère, des jambes longues gainées de noir, cela suffit à la rendre attirante.
Le hasard veut que la bandante soit assise juste à coté de moi dans le Train à Grande Vitesse qui nous emmène, outre à la Capitale, dans un fol et virtuel élan sexuel.
Elle retire son blouson orange,laissant apparaître de blancs bras nus. Il émane alors d’elle une épouvantable odeur de transpiration.
Commentaires
Tu voudrais pas qu'elle pu d'la gueule en plus ... ;-)