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Alexandre Benoît

San Antonio décrit principalement son acolyte (alcoolitre?) Bérurier comme un personnage immense et immonde,goinfre et dégoûtant mais.........monté comme un âne et régalant les donzelles de ses exploits sexuels. Je me demande jusqu'à quel point nous n'avons pas tous souhaité, honteusement, être un instant Le Gravosse!

Commentaires

  • Cher Maître, il serait bon de revoir vos statistiques. Tous les lecteurs de l'oeuvre de monsieur Frédéric Dard n'ont pas forcément rêvé de se transformer, même pour un temps, en monsieur Alexandre-Benoît Berrurier.

    En effet, on peut aimer l'andouillette, le julienas et être, quand même, profondément romantique.

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