Espoir
Dans l'Entreprise, et vous aurez compris qu'il s'agit là de l'Entreprise dans laquelle je sévis tristement, afin de gagner la maigre pitance qui me sert à gagner, à la sueur de mon front, les quelque argent qui me permettent de financer l'électricité nécessaire à la tenue de ce blog, dans l'Entreprise donc, il est de convenance de laisser son cerveau à l'entrée afin d'être sûr qu'il ne soit endommagé par les vils procédés qu'on nous contraint à employer. L'un de mes Camarades d'infortune cependant a pris la décision de conserver à son poste sa matière grise, en même temps que ses chaussures, sa Môman et son Pôpa lui ayant apporté une éducation particulièrement soignée. C'est un Homme du Nord,de ce Nord maintenant glorifié après un film bien connu.......
Il faut croire que les gens du Nord ont le cerveau très résistant puisque Monsieur Nervien est capable, presque quotidiennement, de trousser des commentaires hilarants après les mesquineries que j'écris ici tous les jours! A lui, en particulier, et à tous les Amis qui complètent la vie de "Calamités Quotidiennes", je tire ici mon chapeau, merci à tous.........
Commentaires
Voici donc dévoilée une partie de l'identité du fidèle Nervien. En tout cas, il est heureux que tu récupères chaque fois ton cerveau pour abonder ce blog essentiel.
Cher Maître, monsieur Daniel Hamidou ne sera jamais assez trop remercié pour, d'une part, avoir mis à mal les clichés négatifs attachés au département du Nord et d'autre part avoir su le faire avec humour et autodérision. Pour autant, comme monsieur Dany Boon serait certainement le premier à le dire, il ne faudrait pas maintenant tomber dans l'excès inverse. Même s'ils "ont dans leurs yeux le bleu qui manque à leur décor." et "dans le coeur le soleil qu'ils n'ont pas dehors", les gens du Nord ne sont ni meilleurs, ni pires que les gens d'ici ou d'ailleurs.
Par conséquent, fort de mes origines et de ma connaissance personnelle à moi de moi même en personne, je revendique, avec la dernière des énergies, ma banale et navrante normalité. Aussi, sans vouloir vous froisser, cher Maître, je ne saurais accepter vos louanges.
Pour finir, c'est avec la même force que je veux ici affirmer ma fierté et mon plaisir d'appartenir à la bande de ceux qui apprécient votre calamiteux esprit.