Paradoxe
Allongé sur un doux coussin de mousse fraiche au fond d'un sous-bois, le fakir se sentait mal à l'aise.
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Allongé sur un doux coussin de mousse fraiche au fond d'un sous-bois, le fakir se sentait mal à l'aise.
Commentaires
A ce propos,il y a peu de temps, un Hindou me disait justement :
- "Oh! Vous savez, les fakirs, souvent, ils ne valent pas un clou."
Oui et quand on s'intéresse à leur physique on peut également constater qu'il en ont la maigreur, car ne dit-on pas " maigre comme un clou " ?
Cher Thierry, vous avez eu tout à fait raison d'avoir enfoncé le clou sur cet aspect des choses.
Ne me donner pas raison pour cela ... çà risquerais de me rendre marteau !
Punaise, je sais pourtant que j'ai certain vis ... mais là !
De grâce, cher Thierry, ne vous laissez pas prendre en tenaille par ce genre de sentiments. Mettez les au clou et vous pourrez repartir du bon pied (de biche).
J'en prends bonne note (pince) mon seigneur.