Dimanche, dans le bus
« Alors, d'accord, je veux bien, le dimanche c'est cool: tu vas pas bosser, tu mets pas le réveil, mais tu te lèves quand même,sinon, tu te pisses dessus!».
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« Alors, d'accord, je veux bien, le dimanche c'est cool: tu vas pas bosser, tu mets pas le réveil, mais tu te lèves quand même,sinon, tu te pisses dessus!».
Je compte, parmi mes amies, une fille,plutôt drôle, à qui on a du mal à donner un âge. Et c'est surprenant, son père est antiquaire.
Lors d'un rêve, il y a quelques nuits, je me souviens d'une après midi d'été ou, m'occupant de formalités administratives sur la table du jardin. Je fus appelé urgemment dans la maison familiale pour résoudre en urgence un problème d'électricité. Le temps menaçant orage,je demande à ma soeur de ranger les papiers au sec, je sais que je peux compter sur elle. Cette nuit,suite du rêve, la pluie est tombée, ma soeur n'a rien fait, les papiers sont détruits. Dorénavant,et dans mes rêves, je ne demande plus rien à ma soeur!
« Celui qui s'imagine qu'on peut terminer une nuit trop courte en somnolant dans un bus de la ville, n'a JAMAIS pris un bus de la ville.».
Trois ans après les terribles attentats perpétrés par les frères Kouachi, les français, alors unanimement « Charlie», ont largement pardonné aux martyrs morts au nom de la liberté d'expression. Aujourd'hui, après ces quelques années, on peut, légitimement s'interroger; pardonne t'on encore aux dessinateurs, aux humoristes, aux polémistes qui ont la chance de rester en vie,s'ils s'avisent de penser différemment du courant général ?
Une fois le trépas venu, ce cochon de Gainsbourg, ce sagouin de Coluche, sont instantanément devenus des génies. Rien de tel que la mort pour redorer les blasons.