En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Pas très bien distribué lors de sa sortie en salles, j'avais raté le film: " Brèves de Comptoir " de Jean Michel Ribes, adapté du patient travail de Jean Marie Gourio. Vu en vidéo il y a peu, je me suis laissé porter par cette journée dans un café aux dialogues truculents.
Je viens de m'apercevoir que, du mot " douceur " au mot "douleur ",il n'y a qu'une lettre qui change, subtilité de la langue française.
C'est ennuyeux, des étrangers mal informés, ou mal formés, pourraient confondre,malheureux quiproquo.
Il y a de ces très rares matins où le génial cerveau que j'héberge dans ma boîte crânienne, une vraie boîte à bijoux pour le coup, des matins donc où ce formidable joyau d'intelligence, d'humour et de piquant à du mal à se réveiller.
Une chaîne de la TNT vient de diffuser, pour la ènième fois le film: " Les Bidasses en folie " de Claude Zidi ( ah on savait rire en ce temps là), avec Les Charlots. Si je compare avec " Full Métal Jacket ", de Kubrick, je me dis que les appelés français de l'époque avaient la belle vie.
Les boulangers auraient tout intérêt à financer les recherches des scientifiques sur la téléportation. Les dimanches matins, plus besoin de marcher dans le vent, la pluie et le froid pour aller chercher les croissants, on arriverait directement dans la boutique. Et là, vu comme çà, colossale augmentation du chiffre d'affaires.