Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Entendu dans le bus.....

    "Alors, tu vois, j'étais en Hollande, et alors les Hollandais, les avalanches, ils s'en foutent pas mal......"

  • Désolé, c'est l'été

    Guy Manuel de Homem Christo et Thomas Bangalter, après un album extrêmement funky, on décidé d'enregistrer un prochain opus inspiré des oeuvres de Messieurs Roger Waters et David Gilmour.

    Ils veulent appeler ça : " Daft Pink"

  • Leçon......

    De ses jours de désespoir et de dépression, de ses suicides ratés, il avait gardé une philosophie : maintenant qu'il avait gagné, à plusieurs reprises, et peut être un peu contre son gré, face à la Grande Faucheuse, il n'était plus inquiet, elle gagnerait, c'est certain, et le plus tard possible, mais elle ne gagnerait qu'une seule fois, Elle!

  • Yabon

    J’évoquais, il y a quelques jours, à travers une citation, Léopold Sedar Senghor, qui fut, dans le courant du Vingtième siècle, poète, premier académicien français noir, ministre sous la Quatrième République et premier Président de la République du Sénégal indépendant.

    Senghor (décédé au début du vingt et unième siècle) était considéré comme un Sage pétri d’humour, j’en veux pour preuve  cette anecdote qui m’a été plusieurs fois racontée et que je ne résiste pas, à mon tour, à vous narrer avec délice.

    L’affaire se passe, selon les sources, dans une quelconque ambassade d’un pays de la Françafrique ou même, à la préfecture du Havre, mais, en tous les cas, dans les années 50.

     

    Léopold Senghor fait alors partie des invités d’une soirée pince- fesses réunissant les notables du coin. On a flanqué le poète d’un jeune énarque lui servant pour le coup d’aide de camp.

    Au début du repas, l’  « assistant » d’un soir se penche vers Senghor, en train de déguster l’entrée et lui lance un discret : «  y’a bon miam miam ? ».

    Sans s’offusquer devant l’idiotie, l’écrivain répond poliment que oui.

    Au moment de déguster le vin, même manège assorti d’un « y’a bon glouglou ? », même politesse de notre invité.

    Arrivé à l’approche du dessert, l’hôte de la maison présente parmi les invités d’honneur l’écrivain noir qui se lance alors dans un brillant discours d’Académicien , qu’il était.

    Le futur président sénégalais se rassoit alors, interpellant discrètement son assistant lui lançant : «  Y’a bon blabla ? ».

     

    Outre l’humour décapant qui émane de cette situation, je serais aujourd’hui curieux de savoir ce qu’est devenu depuis le brillant jeune diplômé, fait il aujourd’hui partie de nos brillants gouvernants ? Cette question aurait plutôt tendance à m’inquiéter. 

  • Idée reçue

    Quoique l'on en pense, il n'y a pas d'Apaches dans les Appalaches.