Gros moral
À l'heure de nouveaux projets de réforme, et de nouvelles décisions sur l'hôpital, réfléchir, un peu, et se rendre compte qu'une partie des malades qui « bénéficient» d'une Affection de longue durée, se soignent, non pas pour guérir, mais pour mourir moins vite. On devrait peut-être, par souci d'économie, les laisser trépasser plus rapidement?