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En fin de compte

 

De par son âge, Le Calamiteux n'est qu'un futur vieux, Le Calamiteux n'a découvert le western qu'a travers : « Les Mystères de l'Ouest», qui n'étaient pas du tout un archétype du genre, puis, après quelques années, le bonheur infini des westerns spaghettis de Sergio Leone, qu'il aime encore plus que tout. Au moment de trouver l'inspiration, Le Calamiteux s'imagine souvent dans la peau de Tuco en train de creuser.Les deux films américains qui trouvaient à ce lour grâce à ses yeux étaient: « Little Big Man», et, dans une moindre mesure: « La Vallée de Gwangi», bizarreries westerno- science fiction qu'il vit un soir en salle, sur une copie usagée qui cassat plusieurs fois.

Le Calamiteux avait bien sûr entendu parler des grands classiques des années 50, sans s'en préoccuper, par peur d'un manichéisme qui rend les indiens idiots et méchants.

Aujourd'hui, au hasard d'un cadeau, Le Calamiteux vient de découvrir le dernier western de John Ford, « Les Cheyennes» ( Cheyenne Autumn), et il faut reconnaître qu'il avait raté quelque chose.

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