Critique cinématographique
Je me rendais hier, coeur et pas léger, au cinéma " intelligent ", de mon quartier pour assister à une projection du film: " Mister Turner ", de Mike Leigh, avec Timothy Salle qui a décroché, pour son rôle, le Prix D'interprétation Masculine à Cannes. Je dois avouer qu'il m'arrive souvent d'entrer dans une salle obscure sans connaître réellement le sujet de quoi qu'on va causer dans le film, ceci m'ayant causé parfois de sévères déceptions. Ce fut le cas hier ; moi qui m'attendais à un biopic détaillé sur les sulfureux Ike et Tina, couplé de chanteurs célébres des seventies, je dois reconnaître que je me suis fait avoir, l'histoire contait en fait les vingt dernières années de vie de Turner William, peintre anglais du dix neuvième siècle donc, pas de musique funky ni de chorégraphies spectaculaire mais, la biographie interminable ( 2 heures 29) d'un peintre qui a marqué son époque. J'y ai trouvé quelques longues longueurs, et me retrouvais, vers 23h45, chez moi, à mater, sur le lecteur DVD du salon, une des inénarrables aventures du Lieutenant Franck Drebbin, interprété par Leslie Nielsen, c'est vous dire à quel point. Ce Turner ne m'a pas emballé.
Commentaires
Non mais franchement et j'en appelle à tout la population de ce blog
- " Y a t-il un flic pour sauver l'calamiteux ? "
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