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Post mortem

Le mail est arrivé comme ça, message envoyé depuis « Calamités quotidiennes », pas un commentaire,non, un message privatif envoyé depuis l’onglet : me contacter, en haut, à gauche, c’est rare qu’il soit utilisé celui là………..

Le mail est « signé » Nervien, qui depuis quelques temps, sans doute un peu marri d’un billet qui l’avait choqué, à décidé de ne plus commenter, et, va savoir, de ne plus visiter le blog, espace ouvert à un humour, à des piques parfois peu consensuelles, à une époque où il devient impératif, semble t’il, de penser consensuel, de faire rire, ou pas, mais uniquement là où la bien pensance semble vouloir nous autoriser.

Le mail est signé Nervien, est ce bien lui, je ne sais. Je reconnais, évidemment le style un peu ampoulé, quelques uns le qualifient de « pédant », du bonhomme, une écriture soignée.

Le message commence par le classique :

«  Cher Maître »

Dont, donc le bonhomme continue à m’affubler. Et, dans ce style, presque inimitable, l’ami Nervien, me propose, avec force circonvolutions, me propose donc de pousser jusqu’au bout une provocation, qu’il croit gratuite de ma part, de pousser le vice jusqu’à : « puisque vous semblez y prendre plaisir », écrire un compliment posthume à Emile Louis, récemment décédé.

Il me faut reconnaître que la teneur de cette « demande » de Nervien m’étonne fort, je suppose à cet homme là, (ou à cette femme d’ailleurs, je l’ignore en fait), une intelligence et une éducation bien supérieure à cette requête saugrenue, j’ai bien peur d’avoir à faire à un faussaire, mais bon :

 

« Emile Louis, né le 21 Janvier 1934 à Pontigny et mort le 20 Octobre 2013 à Nancy était un violeur et tueur en série, principalement sur des jeunes filles faibles intellectuellement. S’il semble établi qu’Emile Louis fut un enfant de «  L’Assistance », mal aimé et violé dans son adolescence, ce ci explique peut être, en partie les faits, mais, en aucun cas, ne les excuse.

 

Emile Louis est mort en prison, le 20 Octobre 2013, je ne suis pas de ceux qui pleureront sa mort. »

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