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Dernières soirées d'Août où l'été encore là permet de rester tard sous le tilleul. Après cela, que pouvait il encore écrire.........

Commentaires

  • Cher Maître, et puis d'un seul coup, sans aucune sommation, voilà qu'éclate l'orage du siècle.

    Sans même avoir le temps de dire bonsoir à ce brave tilleul, il est obligé de piquer un sprint dont la vélocité soulève l'admiration des lièvres tapis dans les fourrés.

    Une fois à l'abri, il constate piteusement que son chapeau et ses vêtements détrempés lui donnent l'air d'une vieille laitue défraîchie.

    Maintenant, il sait ce qu'il pourrait écrire, mais il est trop poli pour le faire.

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