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Il n'avait pas compris

 

Cette chanson l’accompagnait depuis des années, l’avait aidée dans des moments difficiles. La version qu’il préférait, c’était cet enregistrement public, avec les violons au pizzicato. Il s’était parfois interrogé sur les évènements qui avaient inspiré l’auteur. C’est un peu par hasard, ce matin, qu’il avait appris sur internet que Louis Chedid avait écrit : «  Les absents ont toujours tort » après le suicide de Patrick Dewaere.

 

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