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Au bord de l'étang

C'est une fin de printemps, on approche de l'été, les deux hommes bêchent un jardin quand l'orage éclate. On sent l'odeur de la terre mouillée, c'est un autre temps, une douce nostalgie, le livre de Georges Montforez, j'aime le cinéma de Jean Becker.

Commentaires

  • Cher Maître, faut ben êtes un foutu fainéant d'écrivaillon ou d'filmeux d'la ville pour trouver que l'bêchage, qui t'casse les reins comme volée de bois, peut-ête poétique. Et pis en pus, y savent même pas qu'en fin d'printemps, c'est trop tard pour jouer d'la bêche.

    Avec des olibrius pareils, z'êtes pas près d'manger du chou ou du navet, moi j'vous l'dis!

  • Cher Maître, faut ben êtes un foutu fainéant d'écrivaillon ou d'filmeux d'la ville pour trouver que l'bêchage, qui t'casse les reins comme volée de bois, peut-ête poétique. Et pis en pus, y savent même pas qu'en fin d'printemps, c'est trop tard pour jouer d'la bêche.

    Avec des olibrius pareils, z'êtes pas près d'manger du chou ou du navet, moi j'vous l'dis!

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