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Blogothon.

N'allez pas croire que la rédaction d'un blog n'est QUE un acte désinteressé. Les heureux gestionnaires de ces petits bouts d'informatique voient, en effet, au jour le jour, les statistiques de fréquentation de leurs précieuses pages. Je ne me plains pas des miennes, même si, et c'est bien naturel, je souhaiterai avoir quotidiennement avoir encore plus de lecteurs, conquis, surpris, étonnés voire envoutés par ma prose matutinale. J'interviens en fait ce matin en vue d'aider un proche, un plus faible, un attristé de la blogosphère à savoir l'ami Christian Chavassieux et son excellentissime: http://kronix.hautetfort.com/.

Je dois une grande reconnaissance à l' ami Chavassieux qui à eu l'honneur de me faire croire , il y a quelques mois, que les fantaisies  rédigées dont j'essaimais un célèbre réseau social pouvaient trouver leur place au sein d'un blog. Je m'empressais, un peu convaicu quand même de créer ce "Calamités quotidiennes" qui, je le sais maintenant provoque votre émerveillement quotidien, mais je me la pète un peu immodestement, là.

Aujourd'hui, Christian est au désespoir: l'initiative qu'il a prise il y a maintenant une quinzaine de jours de publier un feuilleton "Le Radical Hennelier" sur Kronix, a largement fait baisser ses statistiques de fréquentation, le mettant ainsi dans un désarroi dont il risque de ne pas se relever, je le connais le bougre il est sensible.

Que vous dire maintenant du "Radical Hennelier", pas grand chose, si ce n'est vous inviter à vous rendre sur l'excellent Kronix afin de découvrir cette série d'aventures  qui aboutissent , semble t'il dans un " Village", comme une célèbre série de la fin des années 60. A en croire l'actuel avancement du feuilleton blogesque, ce Village là ne semble pas avoir le charme incongru de Portmeirion, charmant site gallois qui accueillit en son temps la mythique série depus devenue culte.

Petite précision cependant, Ô Christian, Ô mon parrain de blog, avant que son oeuvre télévisionnaire ne devienne incontournable, le pauvre Patrick Mc Goohan fut contraint de fuir quelques temps la Perfide Albion devant le mécontentement de téléspectateurs médusés, un bon début pour toi, quoi!  

Commentaires

  • Merci, Ô maître des calamités, merci de ton secours. Déjà, les stats frémissent, je le sens. (de toute façon, c'est bientôt fini, le radical Hennelier)

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