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Stradivarius

Stradivarius

 

 

 

Le violon est un instrument majeur de la musique occidentale depuis des siècles. On sait l’instrument difficile à maîtriser, sa pratique à haut niveau nécessite une discipline de sportif, comme la plupart des instruments de musique.

 « Le violon, soit tu joues juste, soit tu joues tzigane ! Moi, j’ai pas tellement le choix, je joue tzigane », déclarait le très drôle Boby Lapointe.Cela résume bien les affres de la pratique dilettante de ce bel instrument aux courbes  féminines.

Je ne sais pas grand-chose de la vie du luthier de Crémone qui exerça son art a cheval sur les 17 et 18ième siècles. Etait il un homme de cour, vivait il en ermite au fond des forêts italiennes ? J’avoue sans complexe mon ignorance totale. Je me souviens par contre de la méthode Suzuki : la méthode Suzuki, du nom du japonais qui l’a mise au point, a permis à des générations d’enfants, dès la maternelle, de tirer l’archet sur des violons rikikis, adaptés à la taille des garnements mélomanes, parce que le violon, c’est comme les chaussures, ça grandit avec l’age du musicien. Gageons que la méthode Suzuki est encore en vigueur, au détriment des chats du voisinages, dont l’ouïe fort développée , supporte mal les hurlements déments arrachés aux boyaux de leurs ancêtres défunts.

 

Ma sœur, jeune quarantenaire, a suivi la méthode. Elle a depuis longtemps abandonné l’instrument. Le souvenir devait pourtant être vivace et agréable, on lui a offert un violon pour son anniversaire.

 

J’ai offert des boules Quies à son mec !

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