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  • Réflexion faite

    Les voisins du Calamiteux ont acheté un chien, encore un clébard dans l'immeuble!

    Entendons nous bien, si Le Calamiteux n'a pas de haine particulière envers la race canine, il ne leur porte pas non plus d'amour inutile qui pousse certains « fanatiques» à se rapprocher de n'importe quel cocker spaniel, ou du quelconque caniche à pompons pour lui procurer une caresse imbécile.

    Pour résumer, Le Calamiteux n'a aucune détestation pour les chiens, à la condition qu'ils lui fichent la paix, et ce n'est pas le cas des chiens de l'immeuble qui jappent et chougnent aigu à toute heure du jour, quand ce n'est pas la nuit, sur le bout de gazon sis au pied du bâtiment.

    Dans ces moments là, Le Calamiteux rêve de posséder un lion, à la rigueur un tigre, pour le lâcher contre les chiens hurleurs afin qu'il les dévore.

    Et puis , Le Calamiteux réalise qu'un lion, à la rigueur un tigre, risquent fort de se trouver à l'étroit dans son deux pièces cuisine. La solution des boulettes de boeuf haché, garnie de mort-aux-rats pourrait aussi convenir.

  • Karochi

     

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  • Dans le bus....

    « Médaille d'or olympique pour l'équitation française. Après, comment ça se passe? Le cavalier vainqueur repart avec les deux oreilles et la queue du bourrin?».

  • Onirisme

    La nuit du Calamiteux fut calme et paisible. À peine troublée par un rêve tout à fait «normal» et parfaitement urbain, toutefois traversé, allez comprendre, par un ours kodiak en tutu vert pomme.

  • Critique de film

    J'ai vu l'autre nuit, à la « faveur» d'une insomnie, le film: « Plus beau que moi tu meurs», du réalisateur Philippe Clair avec Aldo Maccione. Il me semble important de rappeler que Philippe Clair a réalisé de nombreux films dont: « Rodriguez au pays des merguez», libre adaptation du «Cid» de Pierre Corneille, qui n'était pas le dernier pour écrire dans la gaudriole. 

    Il faut bien reconnaître que le jeu du piémontais Maccione, tout en nuance et sans aucune exagération, surtout lorsque l'on sait que le bel Aldo campe ici le rôle de deux frères jumeaux que tout oppose, l'un est prêtre, l'autre est voyou. Subtilité, finesse et délicatesse sont les trois mots qui, à mon sens, qualifient le mieux ce film............. Non, je déconne.